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M. Big'sblog

M. Big'sblog
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25 décembre 2008

Noël à Londres avec Bliss ....

Voilà ce que je veux pour Noêl avec toi ....

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12 novembre 2008

Je t'aime

Hâte de voir ce que nous réserve le futur ....

25 octobre 2008

Happy birthday myself ....

21 octobre 2008

Vous allez prendre cher ....

Le film que je vais vraiment adorer voir, je le sens bien :

Un casting d'enfer pour un voyage... au bout de l'enfer ! En tête d'affiche : Tugg Speedman, la star du film d'action, en chute libre depuis ses trois derniers navets. A ses côtés : Jeff Portnoy, spécialiste des comédies (très) bas de gamme, avide de prouver ses qualités de comédien ; Kirk Lazarus, acteur "Méthode" multi-recompensé et 100 % givré ; Chino, superstar pop et fan d'Al Pacino ; et Kevin Sandusky, le fringant petit jeune tout heureux de faire partie de la bande. Cinq egos surdimensionnés au service du "plus grand film de guerre de tous les temps". Sur le papier, ça se tient (ou presque), mais sur le tournage tout dérape : les caprices des stars et l'incapacité du réalisateur, Damien Cockburn, font grimper les frais à une allure vertigineuse, au point que le studio décide de tout arrêter... C'est alors que Damien a l'idée "géniale" d'entraîner sa petite troupe au coeur du Triangle d'Or pour une expérience de "cinéma-vérité" d'un genre inédit. Mortel...

Une idée vieille de vingt ans 

C'est en 1987, sur le tournage de L'Empire du soleil, son tout premier film où il avait un petit rôle, que Ben Stiller eut l'idée de ce qui allait devenir plus de vingt ans plus tard Tonnerre sous les Tropiques. Il explique : "L'idée du film est née en 1987. J'avais à cette époque un tout petit rôle dans L'Empire du soleil de Steven Spielberg, et tous mes amis acteurs tournaient des films sur la guerre du Vietnam : Platoon, Hamburger Hill, etc..., auxquels ils se préparaient en suivant pendant deux semaines un semblant de stage commando. En interview, ils ne manquaient jamais de souligner la "dureté" et "l'intensité" de cette expérience qui les avait rendus "solidaires" les uns des autres. Je trouvais leurs propos à mourir de rire car ces prétendus stages n'avaient évidemment qu'un très lointain rapport avec les expériences des soldats sur le terrain. Cette façon de se mettre en valeur m'amusait, mais je ne savais pas encore quel parti en tirer."

Quand Hollywood dérape

Avec Tonnerre sous les Tropiques, Ben Stiller explique s'être "laissé inspirer par quantité de vrais films de guerre." Mais surtout, l'acteur-scénariste-réalisateur-producteur s'est amusé à rire de l'industrie hollywoodienne, surtout quand celle-ci se met à déraper quelque peu. "J'ai voulu aussi montrer le fonctionnement d'une grosse machine hollywoodienne dans des situations extrêmes où tout dérape", raconte-t-il. "Aussi délirant soit-il, le film reste donc ancré dans une certaine réalité." Et l'acteur Steve Coogan de reprendre : "Tonnerre sous les Tropiques démarre comme une fresque guerrière avant de virer à la comédie. Le film se moque de lui-même, et Ben n'hésite pas à s'y tourner en dérision à travers le personnage de Tugg. Il nous montre les coulisses d'un tournage hollywoodien, ses aspects les moins glorieux, qui mettent à nu nos failles et notre fragilité. Je pense que le public appréciera ce point de vue décapant."

20 octobre 2008

L'Etrange histoire de Benjamin Button

Pour mon retour, un petit post ciné :

L'histoire étrange de Benjamin Button, un homme ordinaire qui, à l'aube de la cinquantaine, se met subitement à rajeunir. Il tombe amoureux d'une femme de 30 ans. Mais comment continuer à l'aimer s'il ne cesse, année après année, de remonter le cours de sa propre existence ?

Leurs deux précédentes collaborations l'avaient laissé entendre, et The Curious Case of Benjamin Button le confirme : David Fincher aime jouer avec le corps de Brad Pitt. Après l'avoir laissé avec le bras en écharpe et l'arcade recousue (Seven), puis avec le visage tuméfié (Fight Club), le réalisateur de Zodiac fait maintenant rajeunir son acteur-fétiche, au fur et à mesure que le scénario de leurs retrouvailles progresse. Des retrouvailles plus qu'attendues, et qui se dévoilent enfin sur la toile. Forte de quelque plans somptueux, cette première bande-annonce permet de se familiariser un peu avec l'ambiance qui imprègnera cette histoire centrée sur la vie, la mort et l'amour, et où Brad Pitt donnera la réplique à Cate Blanchett (déjà à ses côtés dans Babel) et Tilda Swinton. En attendant la sortie en salles (toujours inconnue à l'heure actuelle), c'est sur le Net que ça se passe...

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3 juillet 2008

ABBA forever

MAMA MIA

 

Devant bientôt voir le spectacle et le film sortant en septembre, j’ai eu envie de faire ce post pour parler de cet œuvre LEGENDARY.

 

LE SPECTACLE :

mama_mia_spectacle

 

Etonnante histoire que celle de ce spectacle créé à Londres le 6 avril

1999. A

l’origine, il y a bien sûr ABBA, le fameux groupe suédois rendu mondialement célèbre en 1974 après avoir gagné l’Eurovision. A l’époque, c’est la chanson "Waterloo" qui leur avait permis de remporter le concours. Cette chanson allait devenir numéro 1 en Angleterre et figurer dans le top 10 des meilleurs ventes aux Etats-Unis. A force de succès au hit parade, de concerts systématiquement complets et même d’une apparition au cinéma, ABBA est rapidement devenu un phénomène. Au cours de leur carrière, Agnetha, Benny, Björn et Anni-Frid ne vendront pas moins de 350 millions de disques.

En 1982, le groupe se sépare. Si Anni-Frid tente une carrière en solo, Agnetha se retirera de la vie publique. Benny Anderson et Björn Ulvaeus vont, eux, se lancer dans une nouvelle aventure. Ils rencontrent le parolier Tim Rice qui vient de mettre un terme à sa collaboration avec Andrew Lloyd Webber après un désaccord lors de la préparation de Cats. L’auteur de Jesus Christ Superstar et Evita propose aux deux musiciens de participer à la conception d’un spectacle situé dans le milieu des échecs. Chess - c’est le nom de cette comédie musicale - permettra à Anderson et Ulvaeus d’intégrer le monde du théâtre musical anglais tout en signant deux tubes supplémentaires, "I Know Him So Well" et "One Night In Bangkok". Le spectacle rencontre un joli succès à Londres mais ne tient l’affiche que quelques mois à Broadway. C’est dans leur pays d’origine que les deux partenaires vont monter leur spectacle suivant. Kristina Fran Duvelama, une épopée musicale racontant le destin d’une paysanne suédoise émigrée aux Etats-Unis, reste, encore aujourd’hui, le plus gros succès pour une création musicale en Suède.

C’est la productrice Judy Craymer, qui avait travaillé sur Chess qui va avoir l’idée de créer une pièce de théâtre musical à partir des chansons les plus célèbres de ABBA. La difficulté principale résidait dans l’écriture d’une histoire suffisamment solide pour éviter au spectacle de devenir un simple inventaire des tubes du groupe. C’est Catherine Johnson, une auteur de théâtre plusieurs fois primée, qui signera le scénario de cette comédie musicale co-produite par Craymer, Richard East et Björn Ulvaeus lui-même. L’action se déroule sur une petite île grecque où Sophie, une jeune fille de 20 ans, s’apprête à se marier. Sa mère, Donna, qui fut dans sa jeunesse la vedette d’un trio musical, est à ses côtés. En revanche, son père est absent. Il se trouve que Donna n’a jamais su véritablement qui était le père de Sophie. Celle-ci fouille alors dans le journal intime de sa mère, y choisit trois anciens amants susceptibles d’endosser cette paternité et les invite à la noce. S’ensuit alors une série de péripéties qui conduiront Sophie et Donna à réfléchir sur leurs choix de vie. Loin de toutes référence à ABBA, Johnson propose donc une véritable comédie romantique contemporaine. A partie de cette trame, Johnson choisira avec l’aide d’Anderson et Ulvaeus, les chansons les plus appropriées pour chacun des personnages et chacune des situations. Au final, une vingtaine de chansons, qui vont de classiques comme "Dancing Queen" ou "The Winner Takes It All" à des compositions moins connues comme "Slipping Through My Fingers" et "Our Last Summer" constitueront la base de ce que Björn Ulvaeus appellera : "le musical que nous avons écrit sans nous en rendre compte".

Phyllida Lloyd, connue pour son travail au National Theatre et dans le domaine de l’opéra, assurera la mise en scène du spectacle. Mark Thompson (Art) prendra en charge la réalisation de décors, Martin Kosh (Les Misérables), la direction musicale et Anthony Van Laast (Jesus Christ Superstar version télé), la chorégraphie. Pour la première au Prince Edward Theatre de Londres, les rôles principaux seront tenus par l’ex-vedette de Evita Siobhan Mc Carthy (Donna) et Lisa Stokke (Sophie). Le succès est immédiat et Mamma Mia! se joue à guichets fermés pendant plusieurs années. Le spectacle est toujours à l’affiche aujourd’hui, après avoir été transféré au Prince of Wales Theatre. Le 18 octobre

2001 a

lieu, à Broadway, la première américaine de Mamma Mia!, avec Louise Pitre, inoubliable Fantine dans Les Misérables à Paris, en Donna et Tina Maddigan en Sophie. On note aussi la présence de Karen Mason (doublure de Glenn Close, Betty Buckley et Elaine Paige dans Sunset Boulevard) et Judy Kaye (créatrice du rôle de Carlotta pour la première américaine de Phantom of The Opera) qui incarnent les anciennes partenaires de Donna. Là encore, le spectacle, qui se joue au Winter Garden Theatre, fait un carton. Il obtiendra plusieurs nominations aux Tony Awards (meilleur musical, meilleur livret de comédie musicale et meilleure actrice dans un musical pour Pitre) et continue, à l’heure actuelle, à faire le plein. Mamma Mia fera le tour du monde, de l’Allemagne au Canada, en passant, bien sûr, par

la Suède

et, aujourd’hui, Paris. Plus de trente ans après l’Eurovision, les chansons d’ABBA n’ont pas fini de faire parler d’elles.

 

LE FILM

mamamia_film


 

Le pitch :

Une future mariée est à la recherche de son père dont sa mère ne veut pas révéler l'identité.

Les raisons d’y croire :

Un casting de fous : Colin Firth, Pierce Brosnan, Meryl Streep….

Une réalisatrice (Phyllida Loyd) qui n’a rien fait depuis huit ans et encore ce n’était qu’un documentaire …Elle a donc du faire le plein de bonnes idées. Mais bon elle a déjà dirigé la pièce à Londres et à New-York donc il y a des chances que ça soit bon….

La bande son : il faut aimer ABBA car ce sont leur plus grand succès. Meryl Streep reprend le standard "Mamma Mia !" la chanson que l'on entend dans la bande-annonce.

Bande-annonce : Cliquez ici

 

Verdict : 10 septembre 2008 ( en même temps que Mirrors … ça va faire du bien pour la rentrée)

 

2 juillet 2008

La fin du monde approche mes frères...

dead




























Le pitch :

Des étudiants en cinéma tournent, dans une forêt, un film d'horreur à petit budget, lorsque la nouvelle tombe au journal télévisé : partout dans le pays, on signale des morts revenant à la vie.
Témoins de massacres, de destructions et du chaos ambiant, ils choisissent alors de braquer leurs caméras sur les zombies et les horreurs bien réelles auxquels ils sont confrontés afin de laisser un témoignage de cette nuit où tout a changé.

Bande annonce :


Les raisons d’y croire:

George Romero ne veut pas qu'on le résume à un cinéaste politique. Pour lui, ce qui prime, c'est le divertissement. C'est du moins ce qu'il répète en présentant Diary of the dead qui, comme son titre l'indique, ressemble au journal vidéo d'un étudiant de cinéma qui du jour au lendemain se rend compte avec son équipe que les scènes fantastiques qu'il réalisait pénètrent son quotidien. L'argument qui place ce film comme l'un des opus les plus singuliers du maître Romero permet au réalisateur de Land of the dead de fréquenter une zone quasi-expérimentale au bon souvenir de Martin (dissection du genre horrifique) et de faire le film qu'il a toujours voulu faire depuis La nuit des morts vivants (ça aussi, c'est lui qui le dit). C'est moins une redite de ses précédents films qu'une réflexion sur la vie et la mort, au cinéma comme ailleurs.

Les événements sont intégralement retranscrits à travers la caméra, les raccords permettant de créer des ellipses. Les personnages sont plus dans la discussion posée que l'action irréfléchie, plus proches de la vie de tous les jours que des superhéros improbables. Romero s'attache à la dimension humaine avant de céder aux rebondissements et autres bifurcations gores. C'est un choix assez étonnant, car on ne s'y attend pas. C'est aussi un peu laborieux. Diary of the dead multiplie les mises en abyme (comme dans Redacted, de Brian De Palma, on voit des petits films diffusés sur YouTube) pour montrer que la diffusion des informations est plus rapide sur le net qu'à travers les médiums les plus populaires. Le recours à la caméra subjective permet non pas de rapprocher le spectateur de l'horreur et du suspense - contrairement à [Rec.] - mais de ressentir le choc intérieur de personnages familiers.

Ce qui est jouissif, c'est l'innocence roublarde de Romero qui met en scène des personnages avec un grand sens du réalisme, comme si c'était la première fois qu'ils voyaient des zombies. Avec un plaisir toujours renouvelé de l'expérience. En se contrefoutant des clichés. En fonctionnant sur tous les degrés. Une rencontre avec un fermier sourd-muet rappelle qu'il n'a rien perdu de son humour et une fin explicative (le pourquoi des zombies) pimente une oeuvre mineure et trèèèèèèèès démonstrative. Audacieuse malgré tout de la part d'un Romero pas fou et pas bègue.

Le grand monsieur qui se cache derrière :

Il est né et a grandi dans la ville de New York puis s'inscrivit à l'université Carnegie Mellon de Pittsburgh. Après son diplôme, il commence à tourner, principalement des courts métrages et des publicités. Lui et ses amis fondent le société de production Image Ten Productions à la fin des années soixante et regroupent 10 000 $ pour produire ce qui deviendra l'un des films d'horreur les plus connus de tous les temps :la Nuitdes morts-vivants (1968). Écrit en collaboration avec John A. Russo, ce film deviendra culte les années suivantes.

Ses films suivants furent moins populaires : There's Always Vanilla (1971),la Nuitdes fous vivants (1973), Season of the Witch (1973) et Martin (1976). Bien que n'étant pas aussi acclamés que la Nuit des morts-vivants ou d'autres films plus récents, ceux-ci portent sa marque : un commentaire social sur fond (généralement) de terreur. Comme la plupart de ses films, ceux-ci furent tournés dans sa ville favorite, Pittsburgh, ou dans ses environs.

En 1978, Romero revint au film de zombies avec Dawn of the Dead (1978). Sorti sous ce titre aux É.-U., il fut remonté par Dario Argento et sorti sous le titre Zombie en Europe. Tourné avec un budget de 1,5 millions de dollars, le film en rapporta 40 millions et Entertainment Weekly le choisit pour sa liste des plus grands films cultes en 2003.

Romero continua ensuite sa saga des morts-vivants avec ce dernier petit bijou en date.

 

 

1 juillet 2008

Une vidéo qui met la pêche pour commencer la journée

Un seul mot, ENJOY :

30 juin 2008

Piratage de ce blog

Voilà nos revendications nous les danseurs fous :

30 juin 2008

Retrouvailles avec Bliss ...

Retrouvailles017700Je n'en peux plus d'attendre...tu me manques mon amour .....

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